Lorsque je me plonge dans ces mots, me revient à l’esprit ceci :

« …Les Himbas de Namibie en Afrique australe qui, avant la naissance du bébé, chante pour lui SA chanson.

La date de naissance d’un enfant est fixée, non pas au moment de sa venue au monde, ni à celui de sa conception, mais bien plus tôt : depuis le jour où l’enfant est pensé dans l’esprit de sa mère.

Quand une femme décide qu’elle va avoir un enfant, elle s’installe et se repose sous un arbre, et elle écoute jusqu’à ce qu’elle puisse entendre la chanson de l’enfant qui veut naître. Et après qu’elle ait entendu sa chanson, elle revient à l’homme qui sera son père pour lui enseigner ce chant. Et quand ils feront l’amour pour concevoir physiquement cet enfant, ils chanteront son chant afin de l’inviter.

Lorsque la mère est enceinte, elle enseigne le chant de cet enfant aux sages-femmes et aux femmes aînées du village. Si bien que, quand il naît, les vieilles femmes et les gens autour de lui chantent sa chanson pour l’accueillir.

Au fur et à mesure qu’il grandit, les autres villageois apprennent sa chanson. Si bien que s’il tombe, ou se fait mal, il se trouve toujours quelqu’un pour le relever et lui chanter sa chanson. De même, s’il fait quelque chose de merveilleux, ou traverse avec succès les rites de passage, les gens du village lui chantent sa chanson pour l’honorer.

Dans la tribu, il y a une autre occasion où les villageois chantent pour l’enfant. Si, à n’importe quel moment au cours de sa vie, il commet un crime ou un acte social aberrant, l’individu est appelé au centre du village et les gens de la communauté forment un cercle autour de lui. Puis ils chantent sa chanson.

La tribu reconnaît que la correction d’un comportement antisocial ne passe pas par la punition, c’est par l’amour et le rappel de l’identité. Lorsque vous reconnaissez votre propre chanson, vous n’avez pas envie ou besoin de faire quoi que ce soit qui nuirait à l’autre.

Et il en va de même ainsi à travers leur vie. Dans le mariage, les chansons sont chantées, ensemble. Et quand, devenu vieux, cet enfant est couché dans son lit, prêt à mourir, tous les villageois connaissent sa chanson, et ils chantent, pour la dernière fois, sa chanson…. »

Je crois que cela résume bien ce qu’est la « Musique de l’Âme ».

Nous sommes tous fait de vibrations et d’ondes. Parfois elles sont en disharmonie et nous nous sentons mal. Ne vous est-il pas arrivé d’avoir besoin d’écouter un morceau de musique pour vous rebooster ou vous apaiser ? Fort probablement que oui. Il y a des musiques qui font pleurer, d’autres qui nous portent dans des sphères élevées, certaines nous laissent indifférent !

Les fréquences :

432 Hz est une fréquence sonore qui est parfois associée à la musique et à la méditation pendant un cours de yoga

174 Hz : génèrerait un sentiment de sécurité.

285 Hz : influencerait le champ d’énergie.

396 Hz : combattrait la culpabilité et la peur.

528 Hz : appelée la fréquence des miracles, ouvre les portes de l’imagination et de l’intuition.

639 Hz : ouvre la porte de l’harmonie dans les liens relationnels.

7,83Hz : fréquence de Schumann (du nom du chercheur qui l’a découverte en 1957). Les anciens Rishis indiens disaient que cette fréquence était aussi celle du son « OM ».

 

« Si vous voulez connaître le secret de l’univers pensez en termes de fréquences et de vibrations » disait le célèbre inventeur Nikola Tesla.

 

Et vous, connaissez-vous la musique de votre âme ?

Prenez-vous du temps pour l’écouter, vous ressourcer, faire vibrer toutes vos cellules ?

Le comité se joint à moi pour vous inviter à de belles découvertes à travers toutes les vibrations de cette 7ème édition Synergie-Santé

Edith Bruchez – Présidente